Ma vie, mon roman.

Bon voila, j'ai entammé un roman inspiré de Battle Royale (inspiré seulement pas plagié) que je vais poster ici.
Pour le moment j'ai fait l'intro et le chapitre I.
J'attend vos commentaires.

Ce roman ce nomme BATTLE TOURNAMENT.

HISTORIQUE TERRIEN
La décadence d’un monde.


-Naissance de la compétition entre hommes (naissance du premier homme) : probablement vers -3 à -4 millions d'années.
-Naissance de la boxe : Grèce antique / 18ième siècle, sport de combat oubliant le respect du à l’adversaire, entraînant la mort de certains boxeurs.
-Première Guerre Mondiale (France, Royaume-Uni et Russie vs Allemagne, Autriche-Hongrie et Italie) : 1914-1918, guerre caractérisée par sa « guerre des tranchées », victoire de la France, du Royaume-Uni et de la Russie.
-Seconde Guerre Mondiale (« Alliés » vs « Axe ») : 1939-1945, supériorité temporaire de l’Allemagne puis victoire finale des « Alliés ».
-Naissance du catch : ??? Ancien sport violent réalisé pour le plaisir des spectateurs, beaucoup de catcheurs sont morts en combat.
-Naissance du paint-ball : Mai 1981, sport de compétition et d’équipe, on l’as trop souvent appelés « Little Battle Tournament » .
-Premier tournoi de paint-ball : 27 Juin 1981.
-Vague de guerres pétrolières : 20ième siècle, les USA, la première puissance mondiale, voit le manque de pétrole s’accentuer et pile les pays pétroliers en se cachant sous divers prétexte, personne n’est dupe mais rien ne se fait et même l’ONU (Organisation des Nations Unis) est impuissante.
-Troisième Guerre Mondiale (États Unis d‘Amérique vs « Oil’s Alliance ») : 2235-2236, guerre éclair (durée : trois mois), les USA la remporte en labourant le Nigeria à coup de bombes atomiques. Par peur, les autres pays se rendent, l’ONU s’indigne.
-Dissolution de l’ONU : 2239, après la vague d’assassinat des membres importants de l’ONU (« l’aube rouge », le 9 Novembre 2238) les représentants des pays membres désertent les réunions et l’ONU disparaît.
-Le « Grand Fiasco » : 2245-2258, pendant treize ans, l’Amérique infiltre les
gouvernements mondiaux et remplace les présidents de leurs gouvernement par des « présidents » à leurs bottes. Une fois la quasi-totalité des pays à leurs bottes, l’Amérique établi une dictature. Les révolutions se multiplient et sont réglés dans un bain de sang. Charlie HERCH, le « dictateur mondial » déclara ironiquement : « De toutes façons avant c’était la surpopulation, c’est encore la meilleure solution. »
-Surpopulation dans les prisons : 2260, à force de révolution matées à grand renfort de douilles, les survivants s’entassaient de plus en plus dans les prisons, pourtant agrandis et multipliées. Les rumeurs voudraient que certains prisonniers fussent abattus à l’abri des regards.
-Création de « Battle Tournament » : Sans contrainte de soulèvement ou d’indignation générale, le gouvernement met en place un nouveau « reality-show », « Battle Tournament » où des prisonniers, forcés à « jouer » (et certains riches appelés « les volontaires ») doivent s‘entretuer pour vider les prisons et faire gagner au gouvernement le prix des places (ou l‘abonnement télévisuel) nécessaire pour voir le « spectacle » .


Le prospectus livré illégalement par les membres de la « Liberty Faction » porté l’image d’une main libérée de ses chaînes. Ce prospectus était illégal (la « Liberty Faction » le placé souvent dans des lettres apparemment publicitaires qu’ils envoyaient ensuite par la Poste, et la plupart du temps, ça marchait) et je décida de le cacher dans ma « bibliothèque ». En tirant un des livres de HERCH Charlie, seuls livres autorisées au monde (Plusieurs révolutionnaires émettent l‘idée que HERCH à signé certains livres qui ne sortaient pas de sa boite crânienne, elle-même ridiculement petite pour sa taille), une des armoires se renversa pour laisser apparaître une pièce obscure de taille moyenne qui contenait divers objets: Au fond de la pièce régnait une affiche représentant HERCH avec une moustache et une coiffure Hitlériennes, sur le côté gisait une pile de livres en désordres, que j’aurais du ranger depuis fort longtemps d’ailleurs, et ,sur une armoire à ma gauche, trônait divers objets dont moi seul, et les agents spéciaux du gouvernement, connaissaient l’utilité.
Derrière l’affiche je put ranger le prospectus avec les autres dans un espace aménagé dans le mur, la cachette secrète en contenait beaucoup d’autre.
Le coup de la bibliothèque, je l’avais vu dans un film, et celui de l’affiche aussi d’ailleurs.
Je rentrai dans ma cuisine, avec un air de contentement sans doute lié au fait que je n’appartenait pas à la classe qui pliait l’échine devant l’ennemi sans pour autant participer de manière très active, je résistais à ma façon.
Un coup de feu me fit pointer le nez dehors, un facteur gisait là, par terre, sa cervelle s’étalant mollement sur le paillasson d’une maison voisine, sans doute n’avait il pas était assez méfiant et avait distribué les prospectus illégaux partout sans s’en rendre compte. Voila ce que le gouvernement avait trouvé pour contrer le problème, au lieu de faire surveiller le courrier (ce qui aurait nécessité un budget postal doublé), il préférait faire surveiller les facteurs par ses agents spéciaux, qui avaient une notion bien particulière de la justice, qui de toute façon avait était bafoué plus d’une fois depuis la mise au pouvoir de HERCH.
Sans nul doute que les agents allaient fouillés les maisons aux alentours et que je devais m’y préparer. Je saisi le Desert Storm Y-2 (modèle de pistolet un peu ancien mais assez répandu chez les militaire pour son chargeur spacieux et sa cadence de tir élevé) et je le fourra dans ma poche pour une utilisation future probable.
Attendant calmement dans mon fauteuil, je vit la porte sauté de ses gonds sans bouger un sourcil. Les « agents » ne font pas dans la discrétion et, après avoir défoncer ma porte, l’un d’eux me demanda calmement si je ne posséder pas chez moi un ou plusieurs prospectus illégaux, autant demander si je voulais ou non mourir.
Après avoir reçu une réponse négative de ma part, l’agent hurla aux autres de fouiller la maison. Se sentant obligés de tout cassés pour remplir leur devoir de bons citoyens, les agents prirent un malin plaisir à renverser, plier, fissurer, briser et défoncer tout ce qu’ils pouvaient dans la maison. Quand ils se dirigèrent vers la bibliothèque je chatouillai de la main mon pistolet, qui semblait m’appeler à répandre leurs cervelles si peu remplies sur les murs de la maison. La vue des Pistolet à Plasma (sans doute un modèle de 2258) me refroidi un peu, un seul tir de ceux si vous pulvérisez littéralement si vous ne portez aucune protection. Bof, de toutes façons je n’aime pas vraiment le papier peint de ma maison… Quand ils bougèrent un à un les livres de ma bibliothèque (avec un certain respect tout de même, c’était quand même les livres du « patron ») et que je les voyais se rapprocher du livre fatidique, qui ouvrait l’entrée vers ma cachette secrète, je saisi doucement mon revolver. Peu après, un agent découvrit l’entrée secrète en bougeant légèrement le livre de HERCH qui eu le plus de succès (Notre bien aimé dictateur a obligé à chaque homme, femme ou enfant d’en acheter trois exemplaire sous peine de mort) et ma cachette révéla ses secrets.
Un des hommes me regarda en souriant et, pendant que tous se mirent à inspecter ma salle, je tira sur l’un des quatre agents présents qui, avec un regard étonné, regardait son sang fuir de sa carotide à toute vitesse pour se répandre sur un tapis représentant le logo de la Liberty Faction. Mais, sans laisser à ce dernier le temps de mourir, j’en ajustai un autre et tira à quatre reprise sur son torse, qui laissé apparaître maintenant ses organes crevés. Il s’écroula sur le sol dallé. Les deux autres saisirent leurs pistolets à plasma et un seul tir suffit à me broyer les jambes et le bassin. Ma dernière vision fut celle de ma première cible qui, apeuré, essayait de stopper le flot de sang qui sortait de sa carotide alors qu’il devenait de plus en plus blanc. Ah mon dieu que la vie est cour…

CHAPITRE I



- « Allez, tu m’as déjà dis non l’année dernière, laisse moi y aller cette fois! »
Mon fils était têtu, mais après tout pourquoi pas… Les places coûtent chers mais c’est une occasion unique d’y aller cette année… J’hésite, j’hésite…
- « Bon, lui répondis-je, je vais en parler à ta mère. »
Un sourire apparut sur son visage, et c’est avec l’envie de convaincre à ma femme que j’alla à la cuisine où elle préparait un dîner somptueux.
- « Non chéri, dit-elle avant même de me laisser le temps d’ouvrir la bouche, notre fils n’ira pas là-bas voir ce spectacle de décadents. »
- « Mais je n’ai encore rien dit… »
- « Je ne suis pas sourde et nous habitons la même maison, me répondit-elle froidement. »
- « Mais il a vraiment envie d’y aller, et je serai là, avec lui pour… »
- « Lui bander les yeux? J’en doute, et même si c’était le cas il faudrait aussi lui boucher les oreilles. »
- « Je n’ai pas besoin de ton accord, c’est moi le père ici, je l’emmènerais quoique tu en dise. »
- « D’accord, amuse toi bien. »
Elle monta en haut et s’enferma dans sa chambre, laissant le repas brûler, pour en sortir 5 minutes plus tard avec une grosse valise dans chaque main (elles les avaient sans doute préparées à l’avance). Elle fit une bise à mon fils, lui murmurant quelque chose à l’oreille puis partit, me laissant là, avec mon orgueil et un repas cramé dans les bras.
Ai-je eu tord? Non, voila 10 ans que j’assiste à ces tournois et je n’y vois qu’un côté distrayant, sans plus.
J’hésitai encore un peu puis je repensa au tournoi de l’année dernière, après un match très serré se fut le surnommé « l’égorgeur » qui gagna grâce à un lance-roquette trouvé dans le creux d’un arbre : comme il avait perdu son exosquelette à cause d’un piège, il s’était cacher dans un arbre pour prendre son dernier adversaire par surprise et démembrer partie par partie son armure bipède pour finir par le démembrer lui… Quel suspense ça avait était…
Après tout, ma femme n’étant plus là, elle était sans doute partie chez sa mère (acariâtre à souhait) pour pleurer un peu puis revenir chez moi, comme chaque année, donc j’étais libre juge pour décider si, oui ou non, mon fils verrait ce tournoi. En général je lui paye discrètement (sans que sa mère le sache) l’abonnement télévisuel pour qu’il puisse le regarder tout de même, mais se n’est pas la même chose…
J’eu encore un brin d’hésitation puis mes yeux se posèrent sur la télé où l’on pouvait voir sur l’écran un homme grand et relativement baraqué (contrôlé par mon fils) évoluer dans un monde apocalyptique (comme dans tout ces jeux représentants un futur proche) où il devait, avec une équipe de robots de combat, aller d’un bout à l’autre d’une grande maison, tout en pulvérisant d’autres humains hostiles (ou non) sur la carte.
Je le vit s’avancer vers un domestique qui levait les mains dans un geste de paix. En guise de réponse, l’homme lui colla une baffe énergique qui l’envoya valdinguer sur le sol où il affichait un air surprit d’incompréhension. Ensuite je vit l’homme sortir un pistolet électrique dans le but précis de s’en servir contre le domestique, ce qu’il fit aussitôt dans un accès de folie volontaire incompréhensible puis, alors que le pauvre homme se tordait de douleur sur le carrelage de la cuisine virtuelle, l’homme sortir un bidon d’essence et l’utilisa pour asperger copieusement le domestique qui hurlait à présent. Il suspendit une allumette enflammée au dessus de sa tête. J’eu vaguement le temps d’entendre « Pitié! Ne me tuez pas, je ne suis qu‘un pauvre domestique qui n‘a rien n‘a voir avec ses patrons! Je n’ai rien fait! PIT… » avant qu’il s’enflamme comme du papier, le feu brûlant doucement ces vêtements et léchant sa peau. Pour pousser plus loin le vice, je crois que l’homme (toujours contrôlé par mon fils) lui urina dessus pour éteindre le feu avant la mort du domestique. C‘était manifestement réussi : l’on pouvait voir le tas de chaires brûlées bouger par petits spasmes qui lui agitaient tout le corps et ont l‘entendait sangloter par à-coups. L’homme déposa le bidon d’essence à demi vide à côté de la tête du domestique (enfin de ce qu’il en restait) puis partit. Juste avant d’atteindre la porte il se retourna et pointa son fusil d’assaut vers le bidon et tira.
Le réalisme de ce jeu est vraiment époustouflant et le niveau de sadisme y est incroyablement élevé (j’avais presque envie de prendre les lunettes holographiques et de l’essayer, si je n’avais pas tout ce qui est virtuel en horreur) alors ça ou un tournoi de « Battle Tournament »… J’hésita encore 5 secondes puis dit :
- « Fiston, fait tes bagages, dans deux jours on a un tournoi à regarder! »
- « Cool, répondit-il, ça va déchirer. »
Ah, c’était bien mon fils ça, il était presque un homme après tout, il auras tout de même 8 ans l’année prochaine.